

Production
La Compagnie du Cri Qui Pousse
Texte, Distribution et Mise en scène Philippe Fertray
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Collaboration artistique
à tous les niveaux
Sophy Adam
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Musiques
Frantz Schubert ( carrément ! )
Audiojungle
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Production
La Compagnie du Cri Qui Pousse
Texte, Distribution et Mise en scène Philippe Fertray
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Collaboration artistique à tous les niveaux
Sophy Adam
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Musiques
Audiojungle + anonymes chinois
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Ce spectacle a été joué plus de 200 fois en France ainsi qu'au Festivol Off D'Avignon en 2017

Production
La Compagnie du Cri Qui Pousse
et le Théâtre de la Contrescarpe
2019
Texte, Distribution et Mise en scène Philippe Fertray
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Collaboration artistique
à tous les niveaux
Sophy Adam
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Costumes
Chouchane Abello-Tcherpachian et Sophy Adam
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Musiques
Bruno Ménager & Philippe Zerbib
Francis Barber
Audiojungle
Le Syndrome Bill de la Gourette
Non-essentialisé à cause d’une grippette chinoise, il se retrouve complètement Youtubé à domicile et regarde passer le monde sur les réseaux soucieux : des experts médiatiques, un vendeur de masques invisibles, une coiffeuse lanceuse d’alerte, un galeriste postmoderne, un geek transhumaniste, un psycoach, … Il prend même des cours de QiGong pour se reconnecter à son cerveau. Finalement il se retrouve entubé dans le service du professeur Xavier Ragout qui lui recommande d’arrêter les cachets d’itiotimenquiquine et de faire de la marche à pied.
Posologie : pour un lâcher-crise réussi, ce cocktail d’humour à la sauce aigre-douce, aussi déjanté qu’essentiel, est aussi un bel hommage au métier de comédien.
Spéciale dédicace à Xi Jinping…
L'histoire
La question fondamentale que pose ce spectacle est : comment faire pour « tout donner » si on ne « lâche rien » ?
Pour répondre à cette question farfelue, Philippe Fertray incarne avec une énergie haute en couleurs une série de personnages médiatiques caractérisés par leurs abus textuels ; la chronicreuse Tristine Angoisse, un journaliste sportif surexcité, Jean-Karim le footballeur à double culture, un présentateur d’infos à la chaîne, une comédienne empathique, des experts surréalistes.
Au milieu de cette galerie cosmopolite et foisonnante, on croise Trump, un individu lourdement armé, des évangélistes obèses et quelques moments désopilants comme l’imitation du Yin et du Yang ou la chanson chinoise.…
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Loin des clichés actuels du standup, « Pas d’souci » est une logorrhée loufoque truffée des aberrations verbales de notre époque.
Une certaine idée du lâcher crise
Ce spectacle est une raillerie du monde du chômage, donc une raillerie du monde du travail ainsi que des stratégies psychologiques pour accompagner les « décrutés » vers le néant social actuel.
Paul, le manager, parle une novlangue inepte.
Jean-Karim veut organiser des trekking dans le 9-3.
Nadeja, inquiète de la montée du chauvisme, veut ouvrir un salon de cheveuthérapie complètement dégenré.
Kim-Jean-Luc veut créer des applis transhumanistes.
Kevin-Alain veut créer la danse du CopéCollé
pour faire le buzz.
Alfred Carmut veut créer le rasoir à 8 lames.
Défilé de personnages allumés pour un portrait social brûlant d’actualité.
Une certaine idée du lâcher crise avec des poils géants, des chants d’oiseaux, la chanson du CopiéCollé (création mondiale),
le Haka du chômeur, des castagnettes et des coiffures digitalo-ethniques… et tant d’autres choses.

Production
Eye Eye Eye Productions
Texte, Distribution et Mise en scène Philippe Fertray
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Collaboration artistique
Virginie Darmon
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Musiques
Audiojungle
Mon premier spectacle
Dans ce seul en scène, je rentrais sur scène à plat ventre dans le noir avec une lampe frontale sur le front. Je traversais la scène en décrivant les traces de chaussures, j’atteignais le rideau à jardin avec lequel j’entamais un dialogue. Puis, je retraversais la scène à la nage avant d’exécuter une danse arapahos le cul en l’air sur une chaise. Ensuite je faisais l’inventaire des expressions de langage hyper agaçantes du moment et je terminais par une danse chinoise qui parle de la catastrophe écologique en cours. Ensuite je remballais mes objets dans mon cabas et je repartais avec ma chaise. C’était très rock’n roll et pas ma DadA.